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Sébastien Huette

Sébastien Huette

Chargé de communication / Chargé de projet événementiel - Mobile et disponible.

Chargé de communication
Chargé de projet culturel
Communication événementielle
Réalisation vidéo
Photographe
35 ans
Permis de conduire
Avignon (84000) France
En recherche d'emploi En recherche active
Je m'appelle Sébastien Huette, j'ai acquis ces dernières années une expérience comme assistant de communication.

Je suis donc à même de coordonner, réaliser et promouvoir la mise en place d'actions de communication ou de toute la partie événementielle d'une association ou d'une entreprise. J'ai notamment validé un master stratégie du développement culturel qui m'apporte une spécialisation en communication culturelle.

Chargé de projet pour l'Atypik Festival de l'association Culture.com à Avignon, j'ai coordonné et géré la mise en place logistique, les relations presses, la communication et les bénévoles de cet événement qui a accueilli un public de près de 250 personnes aux Passagers du Zinc en mars 2015. En parallèle, mon expérience comme auto-entrepreneur en graphisme et photographie ainsi que le vif intérêt que j'ai pour le travail audiovisuel me permet une bonne effectivité dans les tâches liées à la mise en place de A à Z d'une opération de communication.

Ouvert d'esprit, autonome appréciant le travail d'équipe je suis actuellement à la recherche d'opportunités professionnelles pour exercer comme chargé de communication et/ou chargé de projet événementiel dans le secteur culturel associatif / entrepreneurial.
CV réalisé sur DoYouBuzz

Master 2 Publics de la culture et communication - Mention assez bien

Université d'Avignon et des Pays de Vaucluse

Septembre 2015 à octobre 2017
Stratégie de communication culturelle ; Politiques culturelles ; Multivision ; conception de supports de communication ; droit de la culture ; gestion de projet.
Modules, options, contenu des cours
  • Intitulés des cours de la formation :
    • Expertise des politiques culturelles territoriales,
    • Évolution des politiques culturelles,
    • Culture, image, publicité,
    • Droit de la culture,
    • Culture du numérique,
    • Gestion et fiscalité de la culture,
    • Les formes culturelles : les publics,
    • Anglais et culture,
    • Évolution du cinéma en France,
    • Multivision,
    • Son multivision,
  • Introduction au mémoire M1 :
    Depuis près d'une décennie, la France connaît une crise financière qui affecte une grande partie des secteurs de l'économie, allant des grandes industries aux PME en passant par les ménages. Pourtant, depuis quelques années et avec l'aide des réseaux sociaux serait apparu une nouvelle forme d'émancipation sociétale face à la morosité ambiante d'une économie et d'une politique défaillante : le financement participatif ou crowdfunding. Les contours de ce qu'est le financement participatif ; apparu dès le 18ème siècle et se peaufinant jusqu'à ce que s'en empare l'industrie du disque ; se sont développés à tel point qu'ils dépassent aujourd'hui la simple volonté de fédérer une communauté de soutien financier. L'origine de cet intérêt que je porte au financement participatif vient d'un cours nommé « Pratiques Culturelles et Festivalières » et d'une étude que j'ai pu mener l'année passée en L3 Information-Communication à Avignon. Portée sur la connaissance que peuvent avoir les institutions culturelles et les collectivités territoriales de leurs publics, cette étude permit de poser les bases d'une réflexion pertinente. En effet, les résultats obtenu en équipe nous ont étonné et m'ont confronté à un constat singulier : Des acteurs influents du territoire ne s'appuyaient sur aucune étude précise concernant le spectacle vivant et leurs publics. Aucune donnée ne précisait ni le trafic de ces publics, ni leur affluence dans les différents lieux culturels de la ville. S'en est suivi un ensemble de questionnements : Aurais-je rencontré des élus ne possédant pas l'information, ignorant que des connaissances existaient par manque d'information ? Ou plutôt cette connaissance ne leur était clairement pas utile ? Peux-t'on considérer cette position comme justifiable quand on fait face à des demandes de subventionnements de plus en plus enclins à augmenter, alors que les fonds publiques tendent à s'amenuiser et que la mutualisation des structures culturelles apparaît comme évidente ? C'est ainsi que je me suis posé la question de savoir comment il était possible de ne pas connaître avec précision ceux qui fréquentaient les structures culturelles d'un territoire donné. Ce raisonnement m'a amené à découvrir le champs des nouvelles optiques de financements et de communication publique dont en faisait partie le financement participatif.