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Mehdi TAZI

Mehdi TAZI

Photographe Blogueur

Photographe
Artiste
Blogueur
livetweet
crowdfunding
52 ans
Permis de conduire
Casablanca (20050) Maroc
Porteur de projet Ouvert aux opportunités
Photographe , blogueur, auteur de blog culturel et de la galerie des regards
CV réalisé sur DoYouBuzz
Passion d'écrire passiondcrire.blogspot.com
#FreeAnouzla
28 sept. 2013
Source: https://www.facebook.com/photo.php?fbid=242257519255389&set=pb.239325762881898.-2207520000.1380330612.&type=3&theater

Ce blog participe au Blackout Internet de plusieurs sites d’infos et de blogs marocains, réclamant la libération d’Ali Anouzla.
l'instant chocolat
20 juil. 2013
Assis au café qu'un de mes amis m'a fait découvrir, j'attends.
Une femme , pour changer. 
Non pas que je n'apprécie pas les autres. 
Je les aime tous et toutes !
J'aime tout mes ami(e)s et j'apprécie leurs discussions et compagnie.
Ah oui quand je dis pour changer , je pense à l'attente de mes potes , des mannequins, journalistes ou artistes que je rencontre pour mes projets artistiques ou autre personnes intéressé par mes photos.

Cette fois, c'est différend

Pas de net. 
Pas de jolies femmes à cadrer . Cadrer parce que ma passion photo prend souvent le dessus sur mon regard. 
Je cadre les gens. Mon regard photographie tout le monde. 
Ici au café Il n y a que les tableaux déjà encadrer. 
Difficile de passer le temps. 
Je pourrais bien sûr aller faire un tour au Maarif , contempler les gens passer, ou guetter une photo à prendre. Ha tient au fait mon ami l'iranien n habite pas loin. Ça fait longtemps qu'on s'est pas vue. La belle fan d'Azemmour non plus. Elle a toujours été là aux moments qui ont compté pour moi. La dernière fois , elle m'a fait découvrir un vrai chocolat fondant, trop bon. Je peux dire d'elle qu'elle est fidèle et chaleureuse. Son amitié m'est chère.
Mais bon après une marche de chez moi de 28 min, pas trop envie de bouger.
Alors j'attends. En tout cas elle m' a avertie. Oui elle sera en retard. 
Je le sais.
Alors me voila en train d'attendre , sans aucune distraction pour passer le temps.
Je me suis posé la question : Pourquoi je n'ai pas juste annulé et que j'attends ?
J y réfléchis. Là je pense à haute voix , on va dire.

Oui pourquoi j'attends ?

C'est vrai que dans ma nouvelle vie d'artiste photographe fauché , je suis plutôt bien entouré.
Un paradoxe incompréhensible avec ma vie de chef de service informatique au salaire régulier, traites et crédits réguliers.
Je suis fauché, mais pas sdf , pas encore du moins. 
Maintenant les photos que je fais sont payantes, après plus de 60 événement de photos passionnées.
Hé oui, il faut bien prendre des cafés de temps en temps et payer l'assurance de ma "vespaharley" !
Alors cher(e)s ami(e)s , pour vos photos d'entreprise, book, produits, sites, etc vous savez qui appeler !
A propos , merci Mouna H, Amine E, Smael S, youssef , quantum , raceofmorocco et mawazine.
Merci donc !

Ah mais je m'égare là ! 

Je n'ai peut être pas envie de savoir pourquoi j'accepte d'attendre !
Intéressant, je m'auto analyse maintenant.

Cette attente me mène vers des réflexions qui me font peur.
J'attend une belle femme, cultivée et généreuse.
Mais c'est juste sa description , pas la raison de l'attente.

Pourquoi j'attends ?
J'adore ses yeux et son regard.
Mais bon je suis fan des yeux, donc prédisposé à aimer les beaux yeux.
C'est une constatation qui n'est pas la raison que nous cherchons ! 
Je dis nous, car je pense à vous aussi chers lecteurs et lectrices de mes états d'âmes.

Y a t il au moins une réponse ?
Surement très enfouis au fond de ma conscience ou inconscience !

Bon elle vient de m'appeler, elle arrive. Je présume le temps de la route, dans 25-30 min elle sera là.
Alors ! Aurais-je le temps de trouver cette foutue réponse à la question que je me suis posé !

Pourquoi j'accepte de l'attendre ?

70 min ! 

C'est une première pour moi, je n'ai jamais attendu plus de 30 min un rdv non professionnel. Bien sûr les rdv professionnels sont plus exact, avec la spécificité marocaine d'un temps de latence.
Ah ben tient , quand elle sera là, on ira prendre ce super chocolat fondant.
Finalement ceci est la recette de l'instant chocolat et ma réponse : je l'ai trouvé ! 
C'est elle qui l'a dit au détour d'une réflexion spontanée 


SON REGARD
16 mai 2013
Dounia
Quand on croise un regard, quelque chose se passe.
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On dit que le regard montre l’âme d’une personne, mais est-ce vraiment le cas ?
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Ne serait-il pas plutôt le miroir de nos projections ?
Un regard, me transporte toujours au-delà de mes espérances.
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La configuration du présent en est bouleversée, mes actions à ce moment là s’évanouissent en découvrant ce qui pourrait advenir d’un lendemain brumeux.
Regard d’un instant, regard troublant, ce temps s’en allant.
Regard embrasant, tu enflammes les mortels qui te croisent.
Dpp_0004
Quelque chose se passe,
Je me perds dans cette sensation de glisser, impression de tomber,
Une ivresse me surprend, j’aime, je désire, je chavire.
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Regard étincelant, regard d’un instant, je suis surpris.
Savourer intimement  ce moment, rien d’autre ne compte.
Img_8140_-_copie
Ce furtif moment, me transporte au firmament des mes fantasmes.
Où désir, passion et pulsions s’entremêlent et me poussent à voir,
Basma
Au fond de ce regard envoutant  à quel point, je ne sais résister à la beauté.
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Regard, quand tu me transperces, je sombre.
Regard, fais moi rêver.
Img_4790-3
Quelque chose se passe,
Il y a moi, il y a son regard.
Il y a moi, il y  a elle.
Salma
Intense moment, qui m’appartient.
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Je rêve d’elle.
2-1

Elle est mon souvenir, son regard est ma prison.
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Aux Femmes du monde , 
ELLE
14 mai 2013
Dans ses yeux se cache l'océan ,où je me noie à chaque regard
Calme et profond, je sombre dans ...une paix absolue
Là où tu navigueras des ans. Je serai ton amoureux.

Dans ses joues se cache les roses, qui me transportent par leurs parfums.
Tendres et fraiches, c'est un bonheur sans pareil de les humer.
Là où tu cueilleras de toutes les couleurs. Que je ne cesse d'admirer.

Dans ses lèvres se cache le miel, dont le goût me surprend à chaque baiser.
Délicieux et généreux, je ne m'en lasse jamais.
Là où tu goûteras le bonheur.Et nous transporteras au paradis.

Dans ses cheveux se cache le vent, libre et sauvage,
Libre et indomptable, je prend plaisir à m y prélasser.
Là où tu t’envoleras en douceur. Ma laissant te caresser avec douceur.

Elle a des jaloux, qui viennent de partout. Je les vois et n y peux rien !
Le soleil, car elle est chaleureuse. Elle me redonne vie quand je suis au plus mal.
Et la lune, car elle est plus éclatante.Et m'illumine chaque soir par sa présence envoutante.

Dans ses jeux, elle est coquine. Elle joue avec son regard insistant.
Et dans ses pensées, elle est maligne. Elle me cerne dans mes moindres pensées.
Parfois angélique, parfois diabolique. Souvent sensuelle et toujours amoureuse.

Ce n’est ni une sirène du royaume des mers. Ni fille que l'on désire.
Ni un ange du bleu du ciel. Ni femme que l'on espère.
Ce n’est qu’une fille de la terre, que je cherche en vain, et
Que tu ne trouveras jamais comme elle. 

10 août, à 17:49

J'ai découvert il y a quelques temps que mon ami Noureddine Amara , avait aussi la passion des mots.
J'ai découvert un de ces textes , que je me suis permis de reprendre , tellement le thème "ELLE" m'avait interpelé.
La version originale est là : http://www.facebook.com/note.php?note_id=26040922692

Un taxi et une hôtesse, encore humains, à l’aéroport de Montpellier.
14 mai 2013

Mur_low_cost
Je retournais au Maroc après un séjour d’une semaine en France. Je rentrais avec ma petite sœur. Notre vol sur Air arabia était prévu pour 12h20.

Arrivé à 11h10 à l’arrêt de la navette pour l’aéroport depuis Malbosc, je découvre avec angoisse que la prochaine, est pour 12h10 ! D’habitude calme, je ressens un stress désagréable. Un taxi s’arrête, ma sœur lui demande le prix de la course pour l’aéroport: 20 euros. Il ne me restait plus que 10 euros. 3 jeunes femmes attendaient aussi la navette. Je leur demande si elles veulent bien prendre le taxi pour partager les frais, c’était l idée du taxi. Hésitante, elles n’ont pas voulues.

Finalement le taxi accepte de nous emmener pour 10 euros. On échange quelques mots avec lui et il se trouve que ce monsieur a une maison à Marrakech. Sans lui, on n’aurait même pas pris la navette de 12h10 alors que l’avion était prévu pour 12h20. Ca circule bien, nous mettons moins de 10 minutes.

Une fois à l’aéroport, je découvre avec effroi que le guichet d’Air arabia est vide, une hôtesse qui finissait de fermer le guichet nous dit : « les enregistrements sont clos, c’est trop tard débrouillez-vous, modifiez votre billet sur internet ou appelez le call center.» Là, c’est comme si on nous balance de l’eau bien glacée sur le visage. Il n’était pourtant que 11h34 et il restait encore 45 min pour le décollage.

Je regarde autour de moi, et je vais me renseigner auprès d’une dame d’un certain âge d’ « Air France » qui me dit : « moi c’est Air France, renseignez vous auprès d’air Arabia , je ne peux rien faire pour vous.» Je regarde encore autour de moi et ne vois ni stand d’information, ni personne à qui demander. D’autres personnes arrivent : nous sommes 7 en tout.

Une des personnes se renseigne auprès d’une hôtesse qui s’occupait du guichet de Ryan air ce dimanche 13 aout 2010 aux environs de 11h34. Elle nous dit qu’elle contacte Air arabia et que, la décision ne lui appartient pas. En parlant de nous, elle dit les « lates » Ainsi en jargon aéroportuaire, c’est ainsi que sont nommés les retardataires.

Elle nous enregistre enfin…, mais le stress est encore là. Arrivés au quai n°12, je découvre avec stupeur que l’embarquement est sur le point de commencer, la première hôtesse aurait très bien pu nous enregistrer si elle le voulait...

Toutes les hôtesses : celle qui finissait de fermer le guichet d’Air Arabia, la dame d’un certain âge au guichet d’Air France et celle qui nous a enregistré et qui était au guichet de Ryan Air, portent toutes l’uniforme d’Air France.

Quand je pense à ce qui aurait pu se passer, si cette hôtesse n’avait pas pris la peine d’appeler et de se renseigner pour voir ce qu’il en était, si ce chauffeur de taxi n’avait pas accepté 10 euros pour sa course, je reste perplexe. Ce qui peut arriver aux retardataires d’un vol, la compagnie s’en fout totalement ! D’autant plus que les billets pris sur internet ne sont pas remboursables.

Une fois à bord, on nous annonce un retard de 10 à 30 minutes suites aux grèves des contrôleurs espagnols.  Ayant voyagé sur Jet4you pour l’aller, et avec cette mésaventure, Air Arabia ne me laisse pas un bon souvenir.

Ma première chambre
14 mai 2013

 

Les mots ne me viennent pas pour décrire cette première expérience que je viens de vivre.
On se sent transporté par les variations musicales.
C'est un  voyage des sens qui s'engage des la première note.
On ne sait pas ou la musique nous emmène, on est aspiré, dans un tourbillon de sensations étranges.
C'est très curieux comme impression.
je me suis retrouvé entre guerre et paix, le rouge et le noir, Chateaubriand et Kafka.
La scène m’a happé, les lumières m'ont apaisé.
Rien n’a d'importance à ce moment.
La musicalité n'as rien de commun avec les autre genres musicaux.
Si le rock, salsa et autres nous entrainent à danser, Là c'est vraiment une communion des sens qui s'opère.
J’ai encore cet opus en tête, ma pensée vagabonde au gré des violons, des notes de piano et de violoncelle.
Aimant la musique dans son ensemble, celle-ci me surprend.
Il y a un partage silencieux qui se faisait entre l'auditoire et les artistes.
Ressentir cette émotion particulière, c'était voir la beauté du monde, malgré sa noirceur aléatoire.
Chaque personne était seule face à cette musique qui a traversé les âges et les âmes de ceux qui l'ont écouté.
J'ai l'impression qu'il y avait davantage de monde, que ceux présents dans la salle.
Nos sens se nourrissaient et s'éparpillaient.
Je sentais que mon corps  me quittait pour rejoindre une danse invisible que les artistes pratiquaient.
Ce concert s'est déroulé en deux parties.
La première était un trio pour piano, alto et violoncelle op.114 de Johannes Brahms.
Ce n'est pas lui qui m’a le plus ému, sans que je ne le déteste pour autant.
Le second était un quatuor pour piano, violon alto et violoncelle op.30 d'Ernest Chausson.
Cette musique fut une apothéose inattendue.
De ces compositeurs, je ne connais rien, mais cette dernière musique m’a transcendé.
Elle a en elle une force, à laquelle je ne résiste pas, et je me suis laissé emporter.
J'ai remarqué que l'auditoire était composé surtout d'étrangers et de peu de Marocains, alors que la pianiste est Marocaine. Il s'agit de Dina Bensaid âgée de presque 21 ans.
Mais quelle surprise que l'écouter.
J'irais avec un plaisir certain l'écouter de nouveau, mais aussi revivre cette expérience des sens.

Projet d'édition, avec votre aide.
03 févr. 2010

Bonjour à tous.

Je vous remercie pour votre présence sur ma page passiondcrire.

J’ai le projet d’éditer mon livre au Maroc, et j’ai besoin de votre aide.

Je vous demande de faire connaitre ma page, d’inviter des amis qui pourraient y trouver de l’intérêt.
Je souhaite que la page atteigne les 500 membres au moins.
Si chacun de nous invite 1 ou 2 personnes, on y arrivera.
Mon projet est demander alors à tous les membres une petite participation (moins de 100 dh, 10 euros) pour m’aider à financer l’édition du livre chez un bon imprimeur.
Bien évidement, chacun des participants aura droit à sa copie du livre, que je pourrais envoyer par la poste ou mieux, lors d’une rencontre dédicace.
Cette édition aura une page qui contiendra les noms de tous les membres qui auront participé à ce projet, pour les membres qui n’y voient pas d’inconvénients.

Mon livre est actuellement disponible, en France à travers Thebookedition qui livre le monde.

Je vous prie de croire en mon projet, et de m’aider à le réaliser.
Je vous remercie tous et vous souhaite une bonne continuation.
Merci

Mehdi TAZI
Auteur auto-édité
L’instant innocent.
12 janv. 2010

Première rencontre, premier regard, première parole.
Qui n’a pas connu cela ?
Qui n’a pas fait de vœux, de rêves et de désirs à cet instant là.
Et qui les a réalisés sans se blesser. !

Première rencontre, premier regard, première parole.
Ce sont  nos espoirs, nos aspirations et nos désirs.
Plus le temps passe, plus ils nous tourmentent.

A chaque rencontre, on rêve.
A chaque regard, on désire.
A chaque parole, on appréhende cet instant inconnu.

Instant d’un regard,
Instant de parole.
Espoir de cet instant qu’on attend.

Une attente d’une vie de rêve,
Une attente d’une vie de désir
Une attente de vœux sincères.

Ce moment est parfois, celui de toute une vie.
De cette vie tant attendue à travers un instant désiré.

A chaque fois cet instant s’intensifie,
Entres nos espoirs, nos aspirations et nos désirs.
C’est celui d’une vie qu’on attend.

C’est un instant innocent,
Où seuls nos vœux sincères se réalisent sans nous blesser,
A travers cette rencontre, ce regard et cette parole qui nous tourmente.
Premier jour.
01 janv. 2010
Voila un moment que je n’ai rien écris sur mon blog, j’étais pris par l’élaboration d’un livre que j’ai publié sur le site TheBookEdition.com.
J’ai enfin pu commander quelques exemplaires, dont quatre pour la bibliothèque nationale de Rabat, pour le dépôt légal, et un pour le site www.livremoi.ma. J’espère que leur réponse sera favorable pour distribuer mon livre à travers leur plate-forme.
Recevoir mon exemplaire en main, m’as fait le même effet que le jour où j’ai été récupérer mon Bac de l’ambassade de France à Rabat.
Cette journée, la première de ces 365 jours de 2010, était très sympathique. Si toutes les journées devaient ressembler à celle-ci, je ne m’en plaindrais pas !
Je vais consacrer une partie de mon temps à l’écriture d’un second livre qui s’intitulera les « Maimonidiens ». Maintenant que j’ai découvert l’existence de cet imprimeur, je vais pouvoir laisser libre cours à ma passion d’écrire.
2010 démarre d’une manière inattendue et très agréable.
Bonne année à tous, lecteurs inconnus de ce blog, amis, famille et Maimonidiens !
Je compte sur vous pour faire connaitre ce blog, alors invitez vos amis.
Merci.
Convention sociale et viabilité d’une relation.
05 juil. 2009
Tout le monde, je parle des célibataire, cherche sa moitié.

On fait des rencontres par l’intermédiaire d’amis, de la famille, du boulot, au hasard dans la rue, ou par un site style Facebook, nice people , Meexup et j’en passe.
Souvent et même trop souvent on se demande si on va finir par rencontrer cette personne qu’on attend pour ne plus être seul et pouvoir vivre à deux.
Il est rare de tomber sur une personne avec qui on partage beaucoup de chose, souvenirs d’une époque qui nous a vus grandir, style de vie, genre cinématographique,  milieu social, culture, et j’en passe. ..
Parfois on ne s’en rend compte que trop tard.
Parfois on ne fait pas ce qu’il faut.
Il m’est arrivé une fois de ne pas aller rencontrer une personne sur Rabat, car il pleuvait…oui c’est idiot…je le sais maintenant.
Il arrive que l’un des partis ne soit pas prêt à aller loin dans la relation.
Il y’à tellement de si, que ca fait peur !
Mais dans n’importe quelle relation, une fois qu’on connait cette personne et qu’on sent que le courant passe et plutôt bien on envisage à construire quelque chose.
Car bien évidement il faut être sérieux dans sa démarche.
On pense à bien des choses, mais comment réagir quand on se heurte aux conventions sociales !

Pourtant s’entendre dire que notre condition de vie n’est pas valorisante, pire honteuse vis-à-vis de l’autre et de sa famille est dur à croire.
Le plus important n’est il pas l’entente, l’amitié, la complicité le respect de l’autre et bien sur l’amour. Et peu importe d’où on vient et ou on vit. On pourrait être une personne très simple, modeste ou pauvre, habitant même dans un bidon ville, on a le droit d’aimer, de vouloir construire quelque chose. Evidement on espère toujours le meilleur, mais nous n’avons aucune certitude par rapport à notre devenir et notre évolution personnelle et sociale.
Pourquoi notre condition de vie devrait-elle déterminer le futur d’une quelconque relation ?
Notre condition ne devrait en aucun cas favoriser ou pas une relation, le plus important n’est il pas de pouvoir construire quelque chose ensemble, même si c’est dans une simple grotte. Cette idée m’indispose vraiment et me gène. Car cela voudrais dire que si je n’ai pas les moyens financiers de changer ma condition de vie, je ne peux pas envisager une relation !
Je pense le contraire.
Peu importe l’endroit ou on vit, si l’amour est au rendez vous, il devra consolider une relation saine et la pérenniser dans le temps.
Le 8 Aout approche et je ne peux m’empêcher de constater que cela fera 2 ans que je suis aujourd’hui de nouveau célibataire et qu’une des raisons qui ont amené mon ex femme à partir est justement ma condition et mon niveau de vie matériel.
Peut être que je finirais par trouver une personne qui ne pensera qu’à moi et seulement à moi et non à l’endroit ou je vis !
"L" attente savoureuse.
01 juil. 2009
Je suis en train de « L »attendre à l’aéroport Mohamed 5 de Casablanca. A chaque flux de passager, je scrute méticuleusement chaque visage. Cela fait une bonne demi-heure que je suis là. Son vol a atterri, mais je ne « L » a vois pas encore.
Je ressens de nouveau ce nœud à l’estomac que j’ai eu à chaque fois que je devais faire la rencontre d’une personne que je n’avais encore jamais vu en vrai. Mais cette fois la sensation est différente. Je n’arrive pas à définir cela. C’est un peu comme si je montais une marche d’escalier vers le niveau supérieur sans que je ne sache ce qu’il y’à et avec une grande excitation pour le faire.
J’ai aperçu au loin le stand d’Air France et le souvenir de mon amie Salwa décédée il y’à peu de temps, m’as tenu quelque peu compagnie. Je me suis laissé emporter un court moment par les souvenirs d’une époque révolue et j’ai souris.
Je « L » a cherche toujours parmi les passagers qui arrivent au compte goute. Impossible de la rater quand même !
A cet instant, En plus de ce nœud que je ressens, je ne peux m’empêcher de me dire que cette fois encore, j’ai trop espéré…
Pourtant j’espère…et je continuerai.
Au moment ou foisonnent en moi des questions suspicieuses, « L » m’appelle pour me dire qu’elle me cherche et qu’elle ne me trouve pas.
On se parle brièvement, je tourne la tête et je la vois.
C’est un silence qui m’envahit brusquement. Le brouhaha de l’aéroport fait place à une accalmie sonore inattendue. Je regarde son regard et là je m’interroge : « Suis-je prêt ? » et en même temps un plaisir exquis parcoure mon échine.
Nous verrons bien ce que le destin ou la vie nous a prévus comme surprises.
Poluxette
09 mai 2009
Elle me connait bien, même trop bien.

Elle sait me cerner, reconnaitre mon humeur d'une manière infaillible.
Elle tombe juste à chaque fois et j'en suis toujours surpris.
Avec elle, nulle cachoterie n'est nécessaire !

Moi par contre, je n'ai jamais rien pu lire en elle.
Elle pourrait me dire qu'elle était sur la lune, que je la croirais…
C'est ma petite sœur qui occupe une place de reine dans mon cœur.

Mes larmes coulent en écrivant ces lignes et ma gorge me brule.
Car en ce moment, je sais qu'elle ne va pas bien.
Elle pense que je suis loin d'elle, mais pourtant chaque jour,
je pense à elle, aux changements qui s'opèrent en elle.
Elle grandit par injection de chagrin, déception, souffrances, amitiés et amour.
Elle découvre la vie tout simplement… et qu'elle est dure la vie !

Quand il m'est arrivé de la voir pleurer, ces larmes sont restées mystérieuses.
Alors qu'elle au contraire, sa perception de moi, ne la trompe jamais.
J'ai des remords pour ne pas l'avoir comprise comme il le faudrait ou quand il le fallait.
Oui, je m'en veux et mon cœur se consume.

Mon ex femme Hind.O aura été ce grain de sable qui complique tout.
Car j'ai délaissé ma petite sœur sans en avoir conscience, jusqu'à ce qu'elle me le dise.
Les plaisirs charnels brouillaient alors mes sens !
Aujourd'hui j'en suis pleinement conscient et cela me navre.
Ne pouvant réparer cela, je sais que désormais je me dois d'être plus vigilent !
Aucune autre femme ne devra plus jamais éclipser ma sœurette.

Ses cris de souffrances me font l'effet de décharges électriques.
A chaque fois ils m'électrocutent au fond de mon âme.

Ces mots jaillissent en moi, tel un magma en fusion qui dévale le long de mon cœur.
J'ai mal et je m'aperçois qu'au rôle de grand frère, j'ai failli.

J'aimerais l'aider et lui montrer un chemin à suivre, si elle veut bien de moi.
Lui dire que la vie bien que cruelle parfois ou même souvent, nous cache bien de belles choses.
Et que ses surprises quand elle sont agréables , méritent qu'on y goute et qu'on s y attarde.

Etre amoureux ou Aimer ?
27 avr. 2009
















Heureux est celui qui aime !
On peut se poser cette question ! , Je me la suis souvent posé .
Un amour, dont la seule ambition est d'aimer, et d'être aimer .
Douter n'est bien sûr pas permis ! Il faut aimer sans conditions !.
Aimer pour la personne qu'on est et non ce que l'on peut représenter.

Malheureux est celui qui n'aime pas !
On ne peut pas nous voiler la face ! on se sent mal à être seul.
Ni amis, ni famille ne peuvent combler ce vide existentiel.

Croire qu'on est heureux ne suffit pas, il faut en être persuadé.
On peut l'espérer, le désirer très fort mais il faut en être sur.
Et c'est avec ce sentiment de certitude que nous serons heureux.
Une fois au moins, on l'a forcément été un jour.
Revivre ce sentiment est notre souhait à tous !

Qui n'as pas été amoureux ou n'as jamais aimé, n'as pas vécu.
Une chose est sûr, l'amour est la seule clé du bonheur.
Il importe peu qui on aime, il faut aimer et être aimé.

Mais personnellement , c'est à une jeune femme que je pense !
Et à une en particulier, dont le regard couleur ciel me noie de plaisir.

Pire que la mort, aimer sans retour, est la pire douleur.
Autant l'éviter, car c'est une souffrance continue.
Si si et vous pouvez me croire ! on l'a tous vécu ! j'en suis certain.
Soyons juste amoureux pour commencer , si on peux !
Il y'à des fois oû on se retrouve amoureux, sans le savoir !
On ne le sait que trop tard ! quand l'autre ne nous aime plus !
Nulle chose au monde ne peut nous consoler à ce moment là.
Non vraiment, il faut avoir la chance de s'en rendre compte.
Et de se dire : "Oui c'est elle" ( ou lui ! ), c'est "L".
"L", Passion retrouvée
22 avr. 2009



















"L" ,

Histoire de ma passion retrouvée,
Ou j'attends que cet instant auquel j'aspire depuis toujours arrive.
Un moment que je ressens du fond de mes attentes.
Dépourvu de patience, je me consume de mes désirs désabusés.
A mesure que je la vois et que je la ressens.

Temps d'un mot ou d'une discussion .
Une passion m'anime,celle de ma fougue et de mon désir.

Merveilleuse sensation qui ranime ma vie en suspens.
Entre jadis et aujourdhui, je la retrouve avec délice.

Plus rien ne compte alors,
A mesure que ma verve s'empare de moi.
Sans retenue , je me confie à sa bonne volonté.
Sans doute est ce un désir impérieux qui m y pousse.
Il n y' a pas de doute car je me sens transporté.
On ne peut m'en empêcher, je glisse vers sa volupté.
Noyé par mes pensées passionnées,
Nourri par ses mots envoutants,
Enfin je les couche pour le plaisir de la retrouver.
Un jour qui passe, une vie qui change.
15 avr. 2009
Aujourd'hui ma vie change.

La vie a toujours été extraordinaire, dans la mesure ou il arrive toujours quelque chose à laquelle on ne s'attend pas.


Il y'a 1 an jour pour jour j'écrivais un texte pour souhaiter l'anniversaire de mon ex femme.

je la remercie d'être partie.

En fin de compte,il ne faut pas grand chose pour oublier une Femme.

Il suffit d'un sourire, d'un regard ou d'une voix qu'on entend au moment opportun.
Et aujourd'hui en ce jour précisément, je ne pense plus qu'à "L".
A ce chemin que j'arpente, à ce désire que je ressens au plus profond de mes aspirations.
Je pense à ce qui va suivre naturellement, à "M", moi, ma destinée qui ne se fera pas sans "L".

L'histoire quel qu'elle soit ne s'efface pas, car ce qui est arrivé ne peut pas se défaire.
Mais on l'assimile, on grandit, on change et on devient une autre personne.
Si je suis cet homme aujourd'hui , c'est pour "L".

Comme la vie, l'histoire s'écoule inexorablement.
Et plus rien n'as d'importance que ce qui arrive,
Ce futur qui s'éclaire à mesure que le temps passe.

C'est mon histoire qui s'écrit, et elle s'écrira avec "L".
Quelques secondes ...
12 avr. 2009

Quelques secondes suffisent à nous mettre de bonne humeur, joyeux ou parfois heureux.
Ou encore elles nous plongent dans un tourbillon de tristesse, d’angoisse ou de déceptions.
Il n’en faut guère plus.
Quelques soient les raisons majeures ou futiles qui vont changer notre état d’âme, quelques secondes suffisent toujours.
Pourtant à chaque fois que cela se produit, je les compte et les revit dans ma conscience.
Elles paraissent interminables.
Souvent j’ai souhaité les arrêter, et prendre mon temps quand elles me conduisaient vers un état agréable ; ou au contraire les oublier lorsqu’elles sont décevantes.

Il est incroyable de voir comment certaines secondes nous font vibrer, surtout quand on pense à quelqu’un en particulier à « L », par exemple.
Et comment ces petites secondes nous projettent dans des pensées sans pareilles, des secondes ou milles questions fusent à propos d « L » , jusqu’ ‘à ce qu’elles passent enfin.
A être soulagé de voir que tout est en ordre et qu’ « L » va bien…
On pense alors à « L »… et à la suite …à « M ».
« L »& « M »
22 mars 2009
« L »& « M »
Dans l’ordre de l’alphabet, « M » suit « L ».
Mais plus qu’un ordre c’est un chemin auquel j’aspire.
A bientôt 37 ans, c’est une étape que je n’ai jamais réussi à franchir.
Ce texte s’adresse à « L », pour lui dire que je suis prêt.
Si j’en suis là aujourd’hui, je ne le dois en fin de compte qu’à une seule personne.
Le vécu de nos vies nous amène toujours à faire un choix.
Un choix qui détermine qui on sera et ce que l’on adviendra.
Et c’est là toute la difficulté de la chose.

Par peur, par crainte de l’autre, c’est une étape que nous refusons souvent de voir.
Depuis quelques mois, je me suis interrogé sur cet avenir invisible qui me guette.
Au gré des rencontres que la vie nous amène à faire, j’y ai toujours songé avec appréhension.

Par manque de confiance, je n’ai jamais retenter l’expérience du tout.
En fin de compte le choix ne se fait pas, il apparaît comme une évidence certaine.

Les qualités que l’on peut découvrir chez certaines personnes vont nous donner le courage nécessaire.
Le courage non pas d’aller de l’avant, mais de continuer à avancer vers un chemin déjà tracé.

C’est à ce moment ou mu par une voix intérieure, on ne pense qu’au moment ou les choses vont enfin pouvoir suivre leurs cours.
Un cours qui était en suspens.

Cela fera plus de 3 ans que ma vie aura été suspendu.
Aujourd’hui, ma vie va reprendre son cours.
Grâce à mes amies, à mes vaines expériences et à « L », je sais que « M » suivra naturellement.

Alors toi qui lira ces mots, et qui auront tout leurs sens pour toi, tu sais que c’est vers « M » , que ma vie d’aujourd’hui me mène.
Ma rencontre avec « M » se fera le cœur léger, car je sais que ma vie recommencera ce jour là.

« M » suivra « L » aussi surement que le soleil se lève.
« M » est ma destiné.
« L » aura été mon inspiration, ma liberté retrouvé.
« L » pour liberté, une lettre qui avance, une vie qui passe.
Et,
« M » est moi, « Mehdi », une lettre qui vient, une vie qui recommence.
Un café pur plaisir.
15 mars 2009
Ce regard qui m'as troublé, ne m'as pas quitté.
J'y ai longuement repensé jusqu'à aujourd'hui.
Je l'ai appelé pour la voir.

Je découvre en elle,une femme d'une grande sensibilité.
Elle n' as plus le regard de cette jeune femme qui habite mes souvenirs d'école.

Sans me retenir , je lui dévoile les turpitudes de Hind.O

Il fallait que je fasse ce premier pas ,bien qu' encore douloureux.
En lui racontant mes déboires , je ne peux m'empêcher de revivre ces 2 années dévastateurs de ma vie passée.

Sans retenue , elle fait de même.
Je sens sa souffrance cachée et pourtant si criante.
Son histoire plus dure que la mienne et pourtant si similaire m'as apaisée.
Nous avons espéré une vie, qui n'as pas eu lieu.
Nous avons eu des rêves qui se sont évaporées.

Rien n'arrive par hasard dans nos vie, et cette rencontre fut un plaisir délectable.
Retrouvailles Chaleureuses.
12 mars 2009















Ce soir, j'ai retrouvé des visages connus.
Des visages qui ont traversé mes souvenirs.
Certains familiers et d'autres moins.
Mais le plaisir de les revoir est sans mesure.
Ma joie de me retrouver parmi eux , me plonge loin dans mon enfance.

Les souvenirs se bousculent.
Des souvenirs d'écoles.
mon émotion est intense.
Nous étions 5, mais c'est comme si tout le monde était là.

Mon attention se porte sur un regard.
Un regard intense et criant.
Je n'ose lui demander pourquoi est ce que je ressens cela.
Peut être n'est ce pas le moment, mais je la verrais, plus tard.
Peut être demain, le jour qui suit ou quand elle le voudra bien.

Çà discute, on se remémore nos souvenirs communs.
Bien des années se sont écoulées, 16 ans.

Ce jeudi soir, je me rend compte de ce qu'on avait.
la paix de l'âme.
Aujourd'hui, nous sommes adultes.
Des rêves se sont concrétisés, certains perdus et d'autres oubliés.

Chacun de nous à sa vie, ses problèmes et son lot de bonheur ou de tristesse.
Moi, je ne suis pas heureux.
Plus maintenant.
Ce regard devant moi, non plus, j'en ai la conviction.

Certains parmi nous sont épanouis et cela est très plaisant de voir ce qu'ils ont accomplis de leur vie.
Certains parmi nous sont devenus des femmes et des hommes accomplis.
Et d'autres se cherchent encore, comme moi.
Et peut être elle.

Ce moment fait partie de ces surprises agréables que nous réserve la vie.
Au moment de les quitter, j'ai le coeur qui se serre.
J'ai peur que la vie nous éloigne de nouveau.
Mais cette fois , nous sommes parés.
Nous échangeons nos numéros et je les appellerais.

Elle au moins , dont le regard m'as troublé.

Ces retrouvailles chaleureuses sont empruntes de sympathie, de plaisir réciproque et d'une amitié rare aujourd'hui.
Ce moment rare est le fait d'une d'entre nous, et je l'en remercie vivement.
Mon amie Lebbar Selwa.
30 janv. 2009


















Mercredi 28 janvier 2009 je reçois l'appel de Nadia khalid une amie intime de Lebbar Selwa.
Elle m'appelle pour m'annoncer le décès de Selwa...

Je n'y crois pas.

Je n'arrive plus à penser et je ne sais quoi penser.

Je suis figé et abasourdi.

Nadia me dira que ceux qui désiraient aller présenter leurs condoléances allaient se retrouver le lendemain, jeudi 29 janvier 2009 devant le littoral à 19H.
A 18H20, ce jeudi , je suis devant le lieu de rendez-vous.
Je ne peux m'empêcher de repenser à mes 2 années d'E.F.A, en attendant les autres.
12 ans se sont passées, mais c'est comme si c'était la veille, la dernière fois ou j'aurais vu mon amie Selwa.

Je repense alors aux excuses que je faisais pour qu'elle vienne m'aider en math.
Aux examens , je répond faux juste pour avoir le plaisir de la voir m'aider chez moi.
Elle m'explique, et moi, je la contemple !
Mon dieu, combien de souvenirs vont jaillir de ma mémoire.
A 19H, personne n'est encore là.
Et moi je suis toujours plongé dans mes souvenirs.
Je repense à ces nombreuses fois ou j'allais chez elle pour je ne sais quelle raison et que je restais à l'attendre avec sa famille.
Et je me souviens du premier mot que diras son petit frère youssef ,encore bébé :"Mehdi" !
Je me remémore la soirée Shératon organisée par nore école ou elle avait faillie ne pas partir à cause d'une foulure de cheville.
O combien de souvenirs vont m'assaillir à me faire couler ces larmes, que je ne vais plus arriver à stopper.
Je repense à cette après midi organisée par le bureau des étudiants ou je jouerais au jeu du oui/non.
Je jouerais très bien, sans faute,mais quand l'animateur me demande si j'étais amoureux de Selwa, je répond oui...

Tellement de souvenirs, tellement de bons moments...

Il m'est vraiment très pénible de croire à son décès.

A 20H, je ne comprend pas, personne n'est là.
Pas même Nadia Khalid qui m'as annoncée cette terrible nouvelle.

C'est le coeur amère que je retourne chez moi.
J'aurais tellement aimé aller présenter mes condoléances à sa famille que j'aimais beaucoup.
Je n'arrive pas à réaliser ni à comprendre ce qui vient de se passer.
Je me souviens parfaitement de Nadia Khalid me dire au téléphone qu'on se réunirait le lendemain à 19h devant le Littoral.
Le plus terrible c'est que je ne sais pas comment les joindre.

J'avais 24 ans et elle à peine 21.
Nous étions deux jeunes ado pleins de vie et rêvant de tellement de choses.
Et dans mes rêves, il y'avait Salwa.
La vie ne m'as pas permis d'être davantage qu'un ami, à mon grand regret.

On grandis, on oublie certaines choses.
Mais peu importe le temps qui s'écoulera, à chaque fois que je penserais à elle, j'aurais dans mes pensées son regard et son sourire que jamais je n'oublierais.

Puisse Dieu l'accueillir dans son vaste paradis.
A Dieu nous appartenons et à Dieu nous retournons.
Merci SOF.
27 janv. 2009














SOF.
Voir que tu n’as pas oubliée cette composition de pétales de roses et de bougies que j’avais fait pour toi il y à plus d’un an, m’as inondé d’une joie intense.

Cela m’a touché et ému.
C'était un peu ma façon de te remercier pour m'avoir aidé à retrouver le sommeil.
Et pas seulement car j'avais trouvé en toi une sensibilité, une sympathie et une amitié à laquelle je ne m'attendais pas. Ce n’était ni un bijou, ni rien de précieux, mais juste quelques roses et des bougies.
Lorsqu'on traverse certaines épreuves de la vie, on ne pense pas vraiment qu’au coeur de cette souffrance, on puisse trouver tant de compassion, de compréhension et de gaieté.Une émotion intense et fusionnelle. Le plus curieux dans cette situation, c'est que j'éprouvais pour toi tant de choses, bien plus que pour celle qui avait été ma femme.
Et pourtant on ne se connaissait qu'à travers nos tourmentes .
Si les journées qui passaient étaient moroses et pénibles, je n'attendais que le soir pour entendre cette voix si apaisante. C'était mon moment de répit en pleine tempête.
Un peu comme ce petit moment de paix absolue que nous ressentons après avoir fait l'amour.

Que tu puisses te rappeler de si peu de choses n’as fait que renforcer davantage mes ressentiments à ton égard.
Je connaissais déjà la compassion, la sympathie et l’amitié que tu m’avais généreusement offert..
L’émotion que tu m’as fait ressentir m’a transporté très loin à travers mes espérances.
C’est irréel et incroyable !
Jamais personne n’as suscité en moi pareilles émotions, si vives et si intenses.

Il y’a un an ma chère Sof , tu as permis que je retrouve mon sommeil .
Et Dieu sait que j’en avais grandement besoin, alors que je n’étais plus que l’ombre de moi-même.
En te rappelant de cette image tu vas me faire retrouver cette joie enfouie au fond de moi.
Cette impression de te connaitre depuis si longtemps qui est si forte, si présente et si familière.
Cette sensation si douce qui me caresse et qui attise encore une fois mon attente.

Cette douce attention que tu as eue à mon égard te rend spéciale.

Comme toujours je couche mes espérances à travers ces mots que ma verve me commande de livrer.
Peut être est-ce un tort que d’espérer ce qui nous semble meilleur et qui nous attire, mais c’est la vie qui se chargera ou non de le rendre possible.
Encore une fois je m’extasie devant cette incroyable surprise que la vie me fait, et toujours au moment ou je m’y attends le moins.
Et c’est toi Sof qui va me montrer par le souvenir que tu gardes de cette image, à quel point est ce que je suis chanceux de t’avoir connu.
Si avoir tant souffert m‘as permis de te connaitre Sof, ce n’est que pour apprécier davantage la générosité de cœur que tu montres à mon égard et qui te rend si belle.

Je ne connais pas quel chemin vas t on être amené à prendre, mais quel qu’il soit, j’ai la conviction que tu seras là.
J’ai pu survivre à mes tourments grâce à toi.
Peut importe ce qui se passeras, cette fois, on signera notre droit au bonheur au bon endroit.
Le bon choix dans une relation amoureuse.
21 janv. 2009
Texte publié ici.
Cogitations.
17 janv. 2009





















Etant seul depuis plus d'un an et demi, je repense à ses quelques femmes qui ont traversés ma vie amoureuse.Quelques unes m'ont marqués même si l'amour n'était pas au rendez-vous.
Bien souvent j'ai cédé, fait des concessions sans rien attendre en retour.
Pourtant et raisonnablement, les efforts consenties dans une relation ne devraient jamais être vains.
Trop souvent je me suis accroché à l'espoir que cela marche mieux...
Alors que les relations amoureuses étant ce qu'elles sont, il n'y as pas de demi mesure.
Ou il y' à des le début une certaine complicité qui se découvre, ou sinon il ne faut rien espérer !
Et pourtant, je restais à attendre un mieux qui n'arrivait jamais.

On dit souvent que l'âge n'est pas important en amour, et je ne sais pas si c'est vrai ou pas !

J'ai pu voir à travers les quelques rencontres que j'ai fait, que la compréhension n'est pas l'apanache des plus matures.
Certaines jeunes femmes qui ont à peine une vingtaine d'années voient la vie d'une manière complètement différente de leurs ainées , et certaines qu'on s'attend à être mature car elles ont plus que la trentaine revendiquent un je-m'en-foutisme ostentatoire.
Je parle ici des femmes que j'ai rencontrées après mon divorce.

A bientôt la quarantaine, beaucoup de femmes espèrent faire un mariage heureux.
Leur raison première est d'avoir un bébé, la première année.
Je les comprend partiellement,car leurs horloges biologiques sont à leurs pics d'activités.
Mais voila, les bébés ne font pas le couple et encore moins le bonheur conjugale.
Et le croire serait une erreur, en tous cas, j'en suis intimement persuadé.

Entre 28 et 33 ans, elles n'ont pas voulues avoir de relation amoureuses,mais juste amicale.
Elles préfèrent attendre un meilleur parti que moi.
Mais alors pourquoi s'engager dans une relation purement amicale ? Cela s'apparente à un manque de foi.

C'est entre 20 et 27 ans, que mes rencontres ont étés les plus intéressantes.
Certaines ne pensaient qu'à une relation de copain ou de couple sans aucun engagement qui les mènerais vers le mariage.
Et quelques unes ont déjà un grand vécu, vu leurs jeunes ages et pensent au mariage, ce qui m'encourageait vers une meilleure connaissance de la personne.

Quand enfin, je découvrais une certaine complicité, et que j'aspirais à une meilleure connaissance de la personne, nos points de vues divergeaient concernant nos attentes respectives.

Aurais je manqué de chance à chaque fois ?!.

Les femmes, les hommes comme ils sont compliqués !
alors qu'en fin de compte, la vie est si simple et si belle.
Premier Baiser
13 janv. 2009
Il y a bien longtemps, loin dans ma mémoire d’adolescent, je retrouve un moment précieux.

Celui d’un baiser, innocent et passionnant.
Je n’y avais jamais plus repensé depuis un bon moment.
Je ne sais pas trop pourquoi est ce que j’y repense avec tellement de plaisir.

Je m’en souviens comme si c’était hier.

Ce n’était pas un moment d’égarement, mais celui d'un profond désir enflammé.
Un désir brulant et intense qui m’avait lentement consumé durant deux longues années.
Elle était la première que mes lèvres ont embrassée, mon tout premier baiser.
J’en garde encore le goût suave dans ma bouche.
Je ferme les yeux, j’y pense et je replonge dans ce tourbillon d’émotions qui m’avait alors envahie !
Ce jour là je découvrais le baiser de mon premier grand amour d’adolescent.
Mon cœur s’emballe en y repensant.

Je ne sais pas pourquoi j’y repense aujourd’hui…
Peut être est-ce le signe que je suis prêt à aimer de nouveau.
Peut être est ce simplement de la nostalgie.
Ou encore l’occasion de me rendre compte de ce qui aurait pu être.
Mais non !
Nous n’avons aucun contrôle sur notre vie, juste nos espérances et nos attentes.
Alors peut être que je suis prêt, guérie de la turpitude de Hind.O.
Je le sens dans mon moi intérieur, tout au fond de mes attentes et mes appréhensions.

Ce moment bien que fugace, j’ai le sentiment qu’il a duré longuement.
Peut être une partie de l’après midi, ou juste cinq minutes, mais un long moment.
Repenser à ce baiser me rend heureux et me donne le courage d’attendre.
Oui, car si entre temps rares sont les personnes qui ont véritablement compté pour moi,
je sais que j’aurais à jamais chez Elle, la place qu’occupe ce souvenir.
Et comme je viens d’y repenser, elle y repensera en ayant un grand sourire.

Nos chemins bien qu’ayant empruntés des voies différentes et que la vie nous a emmené dans son sillage sinueux, elle restera mon premier grand amour et une amie sincère j’en suis certain.
Joyeux anniversaire Cham
30 déc. 2008
Texte publié sur le scriptorium