Votre navigateur est obsolète !

Pour une expériencenet et une sécurité optimale, mettez à jour votre navigateur. Mettre à jour maintenant

×

Etienne Roumane

Enseignant chez Education nationale

Situation professionnelle
En poste
Indisponible
Présentation
Plus de 10 Années d’expérience en contrôle de gestion.
Expérience à l’international.
Formation en Ecole de Commerce.
CV réalisé sur DoYouBuzz
Grinseec, la référence en matière d'association durable grinseec.blogspot.com
Grinseec a testé pour vous : le scooter électrique.
22 janv. 2013

Bonne année à tous !!!
Afin de commencer l’année sur une touche écologique Grinseec vous fait partager l’expérience du scooter électrique.




De mai à aout, je devais effectuer un stage dans un golf (dans le cadre toujours d’une aventure plus ou moins écolo..).Écologiquement convaincu, j’ai voulu essayer ce moyen de locomotion encore très marginal qu’est le scooter électrique.
 Je possédais déjà une expérience précédente sur les deux roues et naturellement, je me suis tourné vers le scooter électrique. Le fonctionnement  et l’utilisation du véhicule deux roues électriques  est semblable aux deux roues thermiques, cependant des distinctions sont à mettre en avant :


Les Avantages



Economie : avant tout, l’aspect du coût, pour un prix d’achat (neuf et occasion) sensiblement supérieur à celui du thermique, le scooter électrique devient plus vite amortissable dans le temps. Grâce au faible coût de recharge environ 0.30 à 0.40 centimes d’euros contre 6 à 8 euros de plein d’essence. (Plus éventuellement de l’huile afin de faire un mélange sur les  moteurs 2 temps).
A noter : une prime d’achat pour un véhicule électrique neuf peut être allouée par la commune de résidence, comme la ville de Paris qui aide à hauteur de 25 % du prix d'achat TTC du deux-roues électrique,  avec pour plafond  400 € maximum.
De même, l’assurance est sensiblement moins chère sur ce type de scooter en opposition au scooter classique.
La fiabilité joue beaucoup sur l’utilisation quotidienne et l’entretien du véhicule, grâce à l’électricité le scooter devient un engin très fiable, à l’instar d’un « téléphone portable », la seule contrainte étant de penser à le recharger (2 à 3 fois par semaine selon l’utilisation), ainsi que faire une révision chez le garagiste tous les 3000km environ.
Les Performances sont au rendez-vous, l’électricité connait des démarrages plus poussifs, mais ceux-ci sont compensés pas un bouton  « booster », celui-ci permet de délivrer une énergie étonnante qui augmente le plaisir de conduite et les sensations d’accélération recherchées en deux roues. 
Le Look n’est pas en reste, la taille réduite du moteur et l’absence de pot d’échappement donnent un style étonnant et fat sensation, il ne nous reste plus qu’à espérer une version électrique du grand classique Vespa ou encore MP3 du fabricant Italien Piaggio !
L’autonomie est équivalente à n’importe quel scooter, il permet de parcourir entre 45 à 60 km par recharge. Mais sa vitesse est réduite lorsque les batteries sont très déchargées.
Du point de vue écologique, celui qui nous intéresse le plus, ce mode de déplacement représente une alternative intéressante avec Zéro émission de co2 et zéro nuisance sonore. Il répond à la quasi-totalité de nos déplacements qui sont à la fois courts et dans un milieu urbain (80% des déplacements).



Les Inconvénients



En opposition à tous ces avantages, il y a bien quelques contraintes :
La Recharge, est le principal point noir du système électrique, les points d’alimentation (bornes de recharge) sont très rares et donc limitent les longs trajets, de plus le temps de recharge est long, environ de 2 à 4h pour une charge complète.
Le Poids peut être vu comme une contrainte, les batteries sont extrêmements lourdes environ 60 kg supplémentaires, et demandent une grande vigilance et de la force pour le pilote.
La Durée de vie des batteries est excellente, extrêmement fiables et robustes elles vous seront fidèles et seront la seule dépense importante qui pourrai vous arrivez sur ce type de machine en terme d’entretien.
Au point de vue de la Sécurité vous devez rester toujours vigilant et attentif autour de vous que ce soient voitures, deux roues ou piétons, l’absence de bruit peut rendre le véhicule furtif vis-à-vis des autres usagers de la route et ceux-ci peuvent être surpris par votre présence.
Le prix de revente du scooter d’occasion connait une plus grande dépréciation du fait du marché très restreint. Cependant, la revente reste assez facile.




Avis global



Grâce à cette expérience positive (plus de 4000 km parcourus cet été), j’ai pu avoir une très bonne opinion sur les véhicules électriques !
Avec un marché encore confidentiel, les deux roues électriques (scooter et vélo à assistance électrique) devraient s’imposer au fil des années en France comme à travers le monde et devenir l’un des moyens de transport les plus utilisés !

La responsabilité sociétale des entreprises (ou RSE)
10 déc. 2012


Parlons d’un cours à l’INSEEC pour les élèves en Management A… Un cours sur la Responsabilité Sociale/Sociétale des Entreprises (RSE), traduisible en anglais par l’expression « Corporate Social Responsability » (CSR).


La responsabilité sociétale des entreprises (RSE) est la contribution des entreprises aux enjeux du développement durable.

Il s’agit, pour les entreprises, de prendre en compte les impacts sociaux et environnementaux de leur activité, et ce afin d’adopter les meilleures pratiques possibles et de contribuer ainsi à l’amélioration de la société et à la protection de l’environnement.

La RSE permet ainsi d’associer logique économique, responsabilité sociale et écoresponsabilité.

La RSE a fait l’objet de discussions lors de la table ronde du Grenelle Environnement consacrée à la gouvernance. Un comité opérationnel a travaillé sur le thème « entreprises et RSE » au cours de l’hiver 2008 et ses propositions sont à l’origine de programmes d’actions. Il s’agit notamment de développer l’information sociale et environnementale communiquée par les entreprises à l’attention de leurs parties prenantes (actionnaires, salariés, ONG, riverains, etc.) ou encore de soutenir le développement de « labels » permettant de reconnaître les  bonnes pratiques sociales et environnementales des entreprises.


En Europe, seuls le Danemark et la France ont fait de la responsabilité sociétale des entreprises un objet de réglementation, sortant ainsi de la soft law à laquelle elle appartient quasi généralement.


De plus en plus d’entreprises reconnaissent leur responsabilité sociale et environnementale. Leurs démarches sont encouragées aux niveaux international, communautaire et national. Au niveau international, l’OCDE promeut des principes directeurs à l’intention des entreprises multinationales (1976, révisés en 2011), et la norme ISO 26000 sur la responsabilité sociétale des organisations (nov. 2010), a été créée. Au niveau communautaire, le livre vert sur la RSE a été publié le 18 juillet 2001. Au niveau national, la RSE est identifiée comme un moyen privilégié pour inviter les entreprises à participer à la mise en œuvre de la Stratégie nationale de développement durable.

Atelier Massage !!
08 nov. 2012

Cosmétiques et écologie
08 nov. 2012

Quand on pense aux cosmétiques, on pense à l'hygiène, à la beauté et au bien-être. Pourtant, peu d'entre nous savent que les cosmétiques conventionnels sont potentiellement dangereux pour la santé et mauvais pour l'environnement.

En effet leur fabrication requiert l’utilisation d’une multitude de produits chimiques qui risquent de s’accumuler dans l’organisme. En polluant la terre et les cours d’eau, ils se retrouvent à nouveau stockés dans notre organisme par le biais de la chaîne alimentaire.

Parmi ces produits chimiques on trouve les silicones, les filtres solaires de synthèse, l’EDTA, les acrylates, les quats et polyquats ou encore les COV (composés organiques volatils). Toutes ces substances se retrouvent dans la nature où leurs effets néfastes sont parfois difficilement mesurables.

Les filtres solaires de synthèse par exemple, posent un réel problème. En polluant l’eau, ils tuent les coraux et se fixent dans les aliments gras comme le poisson. En outre, au contact de la peau, afin de la protéger du soleil, ils provoquent une réaction chimique qui risque de déclencher des allergies.

D’autres produits chimiques qu’on retrouve dans les cosmétiques sont cancérigènes ou soupçonnés de l’être. Leur procédé de fabrication requiert l’emploi d’autres substances hautement dangereuses et polluantes. Enfin, ces cosmétiques sont systématiquement testés sur les animaux avant leur mise sur le marché.

Sachant tout cela, faut-il pour autant renoncer aux cosmétiques ? La réponse est non bien sûr, car une solution existe : les cosmétiques bio certifiés. Ces cosmétiques utilisent des ingrédients naturels à base de plantes (huiles végétales et essentielles) et de minéraux (mica, oxyde de fer). Ils sont respectueux de l’environnement, apportent un réel bénéfice à la peau et ne sont pas testés sur les animaux. Il faut cependant s’assurer qu’ils sont bien certifiés par un organisme indépendant comme Ecocert, BDIH ou encore Nature et Progrès.


13 sept. 2012
22 mai 2012




Achetez-vous un PC Green ?

 La montée en puissance de la problématique du développement durable ne se  dément pas. Saviez-vous que les consommations électriques du secteur informatique génèrent 2% des émissions de gaz à effet de serre de la planète, soit autant que le transport aérien (Gartner, 2011) ?


Et vous, que recherchez-vous lors de l'achat d'un PC ?

Pour étudier de plus prêt vos critères d'achat du grand public accordés à un PC, j'ai mis en place un questionnaire en ligne pour atteindre un maximum de consommateur.

Je vous sollicite aujourd'hui à participer à cette étude en répondant au questionnaire

ici.


L’objectif de ce questionnaire est de recueillir vos besoins et attentes en en matière de PC (fixe ou portable) qui déterminent votre acte d'achat  vers une catégorie de PC.


Cherchez-vous en priorité un PC peu onéreux, ou bien la dernière nouveauté du marché, ou encore économe en consommation d'énergies...? *


Les résultats vous seront par la suite communiqués à la fin de mon étude courant juillet.*

Merci pour vos précieuses réponses !

Rizana

Quand l’amour du naturel devient l’amour au naturel.
21 avr. 2012

Etre végétarien ou végétalien, être végane c’est mieux ! Ou en tout cas c’est « plus sain ». Les adeptes du véganismes réprouvent toute consommation ou achat de produit issu d’animaux ou testés sur eux. Ainsi pas de cuir ou de fourrures pour les véganes. Mais ce n’est pas tout, un grand nombre de produits leurs sont ainsi interdits notamment tous ceux relevant de la sphère du sex-shop d’ordinaire peu attentifs à l’origine de ses produits.

C’est là qu’intervient cette idée hallucinante visant à concilier amour de la chair et amour de la cause animal. L’ouverture d’un sex-shop 100% bio. Il n’y a qu’à Berlin que cette idée pouvait prendre forme. Dans la capitale d’un pays comptant près d’un demi-million de véganes, la niche était toute trouvée. Et à la question « comment pimenter son activité sexuelle sans enfreindre ses principes » ? Les propriétaires du sex-shop ont trouvé une réponse. Ils apposent à côté des accessoires sexuels un petit écriteau précisant les produits vendus ici sont dépourvus de toute matière animale. Du fouet en pneu de vélo recyclé au vibromasseur en  silicone écolo en passant par le lubrifiant biologique, on peut trouver de tout. Passant par des producteurs locaux plutôt que par de grandes entreprises implantées en Chine, ce sex-shop a fait le choix du qualitatif et contrôle ses produits aussi scrupuleusement que s’il s’agissait de nourriture.

A travers cet exemple c’est une nouvelle preuve de la prise de conscience qui se déroule au sein de nos sociétés modernes. La question de la provenance des produits et de ce qu’ils contiennent est posée de plus en plus. On souhaite non seulement pouvoir manger sainement (la création d’un label bio répondait à cette demande) mais on souhaite aussi pouvoir accéder aux fantaisies sexuelles sans risquer d’enfreindre son code de conduite. Le bio aujourd’hui ce n’est plus seulement de l’alimentaire. Alors qu’attendez vous pour offrir à votre chère et tendre son première lubrifiant bio garanti sans allergènes ou produits chimiques ?
L'écologie : la nature d'abord ?
17 avr. 2012
L'écologie, terme inventé en 1866 par le biologiste allemand Ernst Haeckel, est une science qui a pour objet l'étude des relations entre les êtres vivants et leur environnement, en fait l'écologie prend en compte l'action de l'homme sur son environnement afin d'en limiter les conséquences négatives et destructrices : pollution, effet de serre, réchauffement de la planète, déforestation ...

On a 2 types d’enjeux, certains concernent l’environnement et d’autres la sphère sociale :

Pour l'environnement, il s'agit de remédier aux excès du mode de consommation et de développement (le modèle est caractérisé par une très forte industrialisation)

L’autre élément concerne la sphère sociale, elle est fondée sur une constatation la situation d’un nombre non négligeable de la population qui vit dans des conditions d’extrême pauvreté et que l’écart entre les plus riches et les plus pauvres se creuse.

En France :les pouvoirs publics encouragent le Développement durable :

- Charte de l’environnement : impose des droits et devoirs en matière d’environnement
- On va considérer l’environnement en tant que patrimoine commun

On assiste également à l’émergence du commerce équitable et éthique :

La mondialisation crée un nouveau contexte économique et commercial entre pays nord et sud. Cela implique une nouvelle organisation du commerce qui conduit les entreprises et les consommateurs à prendre de nouvelles responsabilités.

Ces nouveaux modes de consommation sont accentués par la prise de conscience croissante des consommateurs qui souhaitent agir, dans leur acte quotidien en faveur d’un commerce international respectueux des droits humains et de l’environnement.

On a vu que l’écologie aujourd’hui se situait dans un ensemble plus grand qui est le développement durable qui traite aussi bien de l’écologie, de l’économie et de l’humaine. On peut donc dire qu’au sens général, l’écologie d’aujourd’hui s’adapte et elle s’oriente plutôt vers l’homme : l’homme d’abord et son bien-être.

Cela nous amène à parler du concept d’écologie politique qui s’est surtout développé dans les années 70. C'est un courant politique issu de la transformation de certains mouvements associatifs prônant la protection de la nature en partis politiques formulant un projet de société global. Les acteurs de l’écologie politique insistent sur la prise en compte des enjeux écologiques dans l'action politique et dans l'organisation sociale.

L’écologie politique souhaite mettre au centre du débat politique le citoyen. En effet, elle souhaite une prise de conscience des conséquences de l’activité humaine sur notre environnement. Cela passe par la remise en cause de la société de consommation, une remise en question de l’interaction entre l’homme et la nature. Elle s’occupe également des problèmes humains, sociaux et sociétaux. Par exemple, le programme présidentiel d’Eva Joly pour 2012 veut donner la priorité aux quartiers populaires, à l’éducation, la protection des services publics, la parité homme-femme, lutte contre les discriminations, le mariage homosexuel entre autres.

Ainsi, l'écologie, ce n'est plus la nature d'abord :  elle tient compte de l’environnement économique du monde et cherche à apporter des solutions.

Questions environnementales : sommet de la terre à Rio en 1992, la conférence de Copenhague en 2009 sur le climat, ou bien la conférence de Durban en Afrique du Sud qui s’est déroulé à la fin de l’année 2011.Objectif : limiter une nouvelle fois le réchauffement climatique par la limitation des gaz à effet de serre.

Cependant, le fait que l’écologie semble s’orienter plus vers le social provoque quelques divisions parmi les écologistes. Division entre l’écologie fondamentaliste : la Nature avant tout, et l’écologie politique : maîtrise de l’environnement, de nos actions, et des csq de nos actions sur l’environnement et nous même. Cpt : écologie fondamentaliste minoritaire.

Division au sein de l’écologie politique : il existe différentes tendances en France. Certains politiques engagés dans l’écologie vont privilégier le social, d’autres à la sensibilisation des industries au respect de l’environnement. Des écolos côté de Jean Luc Mélanchon : Martine Billard, du côté du centre Modem : Corinne Lepage, qui se présente aux présidentielles : Cap 21, Natalie Kosciusko-Morizet, du côté de l’écologie de droite : qui était ministre de l’écologie, porte parole de Nicolas Sarkozy pdt la campagne.

A se rapprocher trop des problèmes humains, sociaux, sociétaux : on peut associer le partie écologique comme proche du parti socialiste alors qu’au départ ce parti se définissait comme différent de la gauche et de la droite.

Autre problème : à vouloir étendre leur préoccupation sur l’économie, on peut également se poser la question de la crédibilité de l’écologie politique dans le domaine économique en particulier. Dans le cadre de l'élection présidentielle française a été présenté le budget du programme présidentiel d’Europe-Ecologie les Vert, réalisé par 4 économistes de l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE). Or sur les 4, 3 démentent avoir écrit le rapport, le seul ayant écrit est un militant du parti ce qui pose un nouveau doute sur la crédibilité et la possibilité du EELV a nous sortir de la crise actuelle.
L’ouverture d’un sex-shop 100% bio !
16 avr. 2012
Découvrez cet article dès demain :)
Grinseec fait sa GREEN WEEK
02 avr. 2012

Lundi :
ATELIER COSMETIQUES BIO : gloss, bougie parfumée, et gel douche exfoliant, pour 8€ seulement !
2 sessions : 10H-11H30 et 11H45-13H15 en haut de l’amphi
DEFILE DE MODE ETHIQUE / Vente privée / Cocktail avec Lux INSEEC : à 17H en amphi

Mardi :
AFTERWORK chez GUDULE, à partir de 18H

Mercredi :
DEJEUNER PRINTANIER : 1 repas acheté = 50 arbres plantés !
ATELIER SENSIBILISATION avec les enfants et Bidibules de 14h à 15h
Diffusion d’un FILM DOCUMENTAIRE avec Inseec Ciné à 19H en amphi !

Samedi :
Session ACCROBRANCHE avec Keep in Touch : 10€ seulement ! RDV à 14H à l’INSEEC


Et toute la semaine :
La GREEN EXPO et diffusion de mini-films documentaires en amphi tous les midis !
Vente de BOISSONS BIO de la marque Eau-de-fruit et distribution de questionnaires Agenda 21

Vous l’avez compris : cette semaine, 97’INSEEC et GRINSEEC 
animent ensemble votre semaine !

Eau de fruit indispensable à la vie.
01 avr. 2012

Connaissez-vous Eau de Fruit ? C'est une boutique en ligne qui vend des boissons bio, sans arôme ou sucre ajoutés. Il y en a pour tous les goûts : 
Eau de fuit sera le partenaire de Grinseec tout au long de la Green Week. Vous pourrez alors profiter de ces produits pour 1,50€ sur notre stand.
N'oubliez pas les autres activités Grinseec, dont l'Afterwork mardi, à partir de 18h, chez Gudule.
T’as de beaux yeux, tu sais…
11 mars 2012
Le 18 février dernier, le public découvrait, émerveillé, les deux pandas géants, Huan Huan et Yuan Zi, « prêtés » à la France par la Chine, pour une durée de dix ans, récemment installés au zoo de Beauval.

C’est pour nous l’occasion de nous pencher sur les deux points suivants : tout d’abord, la situation de la population de pandas en Chine (combien sont-ils ? comment vont-ils ?) puis quoi penser de la détention d’animaux sauvages en captivité.

Il existe deux « races » de pandas : le panda géant et le petit panda.

Le panda géant (noir et blanc) ne vit que dans les régions montagneuses du centre de la Chine. Avec seulement 1 600 spécimens, le panda géant est une espèce en voie d’extinction pour plusieurs raisons : la diminution du nombre de forêts, qui constituent son habitat naturel et sa nourriture (bambou) ainsi que le braconnage…

Cependant, les autorités locales chinoises, qui respectent et œuvrent pour la protection de cet animal, ont prévu la création d’une trentaine de réserves naturelles ainsi que l’augmentation du nombre de gardes formés à la lutte contre le braconnage.

Le petit panda ou panda roux, qui a d’ailleurs inspiré le nom du célèbre moteur de recherche Firefox, vit dans la région de l’Himalaya et en Chine méridionale. Injustement moins populaire que son cousin, il ne fait malheureusement pas l’objet d’une protection aussi accrue alors que son effectif ne cesse, lui aussi, de diminuer, l’espèce étant également considérée en voie d’extinction…

Que faire, concrètement, pour favoriser la sauvegarde des pandas ?


è Apporter son soutien (manifestations, dons…) à des associations de protection des animaux sauvages d’envergure internationale telles que WWF

Les pandas géants, récemment accueillis en France, sont installés au zoo de Beauval… Les zoos représentent-ils une activité à encourager, eu égard au bien-être animal ?


                Même s’il est indéniable qu’un animal sauvage est fait pour vivre en liberté, l’intensité des activités humaines ne cessent de rogner l’habitat naturel de ces animaux, favorisant ainsi la détention d’espèces sauvages en captivité, afin d’assurer leur pérennité et la sensibilisation du public à leur protection.

                Les réserves naturelles sont, de loin, la meilleure alternative à ce retranchement des animaux sauvages, ceux-ci conservant leur environnement naturel, bien que sur une parcelle limitée.

                Les réserves naturelles n’étant pas forcément accessibles au plus grand nombre, les parcs animaliers, zoos et aquariums ont l’avantage de permettre une sensibilisation de la population à plus grande échelle, ce qui est louable, dans la mesure où les infrastructures offrent des enclos / bassins suffisamment grands et où des soins sont prodigués régulièrement aux animaux, afin d’assurer leur confort.

                Par contre, les cirques et les delphinariums sont à proscrire catégoriquement car les animaux y sont tournés en ridicule pour un plaisir humain malsain. En effet, en plus d’être souvent battus, les animaux de cirque sont transportés dans des cages minuscules et insalubres (pas d’évacuation des excréments) et proportionnellement à la taille des mammifères, les bassins des delphinariums ne sont guère plus grands…

En conclusion…

Activités

Je consomme ?

Réserves naturelles

OUI

Parcs animaliers

Oui mais…

Zoos

Oui mais…

Aquariums

Oui mais…

Cirques
NON
Delphinariums
NON

Parce qu’un mode de consommation différent est un engagement décisif dans la protection des animaux…


Le Greenwashing
08 mars 2012



Qu'est ce que le Greenwashing ?

Les images ainsi que les photos des publicités concernées représentent des paysages naturels et préservés, ainsi que des animaux sauvages. Il n’existe pas de généralité, bien sûr, mais globalement plus le produit vanté est polluant, plus le greenwashing peut être présent, à titre de compensation. De ce fait, l’industrie automobile abuse du greenwashing en mettant en avant une consommation et des émissions faibles, l’utilisation de matériaux recyclés, de biocarburants…

Ces images incitent le consommateur à associer le produit mis en vente avec la protection de la faune et de la flore même si le produit en question ne dispose d’aucun caractère écologique propre. D’ailleurs le simple fait de montrer ces images et d’employer des mots clefs tels que « éco » ou « durablement » nous rappellent les enjeux écologiques actuels et le consommateur fait implicitement l’association sans que le publicitaire parle d’écologie.


Une marque qui fait du greenwashing suggère que ses produits sont bénéfiques pour l’environnement, ou tout du moins que l’entreprise fait des efforts en ce sens, alors que ce n’est pas le cas. Ainsi seul le consomm’ acteur le plus avisé saura faire la différence entre les marques et choisir le bon produit. Le consommateur traditionnel quand à lui aura tendance, malgré toutes ses bonnes intentions à choisir une marque traditionnelle qui aura pratiqué le greenwashing qu’une marque réellement impliqué dans la préservation de l’environnement.


On peut donc dire que le greenwashing a un impact négatif sur les choix du consommateur et sur la bonne santé des entreprises les plus engagées écologiquement qui doivent faire face à des coûts de productions plus importants que les autres et qui comptent beaucoup sur la communication.


Quelles solutions pour le consommateur ?


Le consommateur doit rester vigilant quant aux « sirènes vertes » des publicités de produits potentiellement polluants. Il lui incombe de s’informer au maximum sur les produits qu’il consomme. Toute publicité qui utilise des arguments douteux ou invérifiables doit l’alerter.

Face à publicité mensongère ou tout du moins inexacte, des sites vous permettent de porter plainte pour faire cesser ces pratiques. Il est également important de prêter attention aux labels officiels.






Etienne Roumane
Quand la crise financière menace l'environnement.
04 mars 2012

La crise financière a encore fait une victime. En ces temps de disette financière, la ville d’Elche a décidé de fermer la prestigieuse institution Pheonix. 

Cette institution était à la pointe de la recherche sur les plantes, grâce à ces cultures in vitro de palmiers-dattiers. Elle luttait aussi contre le charançon rouge du palmier

Ces activités commencèrent en 1992 grâce à une collaboration entre Elche, les universités d’Alicante, celles de Miguel Hernandez de Elche et de deux organisations françaises : l’INRA et le CIRAD. Cependant, malgré l’utilité certaine de cet institut, son coût de fonctionnement semble trop élevé pour la municipalité. En effet, celui-ci est de 400 000 euros. 

C’est donc à regret, que nous prenons connaissance de la fermeture de cette institution qui a cultivé 25 000 palmiers in vitro. De plus, sept chercheurs vont être licenciés lors de la fermeture du site le 31 Mars prochain. Le porte-parole du PSPV, Alejandro Perez analyse que la ville ferme l’un des plus prestigieux centre de recherche dans le monde lorsqu’il s’avère plus que nécessaire de lutter contre le charançon rouge des palmiers. A l’avenir, il faudra veiller à ce que les préoccupations écologiques ne soient pas conditionnées par les préoccupations financières.

Image : Musée Toulouse, Didier Descouens


" Sauver l'Eau "
29 févr. 2012
La consommation de l'eau a été multipliée par dix depuis 1900, et beaucoup de régions atteignent les limites de leur approvisionnement. L'UNESCO a prévu qu'en 2020 l'eau sera un problème mondial sérieux.


La population du monde va probablement augmenter de 45% d'ici 30 ans, tandis que l'écoulement d'eau douce augmente de 10%. Un tiers de la population fait déjà face à des manques d'eau et à sa faible qualité.
C'est dans ce contexte, qu’on devrait peut-être fixer un prix à l'eau, qui permettrait d'en assurer la conservation, et faciliterait le développement et l'entretien des infrastructures, donnant ainsi un accès à l'eau à une grande proportion de l'humanité. Donner un prix à l'eau faciliterait les échanges entre pays se partageant des ressources communes, en vue d'une meilleure exploitation et d'une régulation de cette source de richesse.


L’ennui est que de nombreuses réserves viennent nuancer cette vision. Sans un contrôle fort, permettant de s'assurer que les multinationales qui se partageront le marché ne pratiquent pas des tarifs surévalués, on risque de voir l'eau se transformer en "or bleu", au même titre que le pétrole est qualifié d' "or noir".


Les effets incluent la maladie, la malnutrition et l'échec de récolte. Donc le statut de ressource vitale qui est attribué à l'eau devrait interdire la notion même de marché de l'eau. Qui, en effet, oserait faire le commerce d'un bien qui, est à ce point indispensable à la vie ? D'autre part, donner une valeur économique à l'eau risque d'en priver les pays les plus faibles, qui ne disposent pas des ressources nécessaires à la couverture de leurs besoins et seraient incapables de payer pour avoir de l'eau en suffisance.


Les états ne seront plus chargés de la distribution, mais de grandes multinationales, qui auront également la charge de maintenir un réseau de distribution salubre. Une tâche essentielle, mais qui serait menacée si un de ces géants de l'eau venait à connaître des soucis financiers...


    En effet en 1977 l’adoption de deux Protocoles qui incluent des termes plus directement liés à l'eau, témoigne d'une avancée significative. À l'époque, la communauté internationale avait pris conscience des effets terriblement destructeurs, au Vietnam, de l'usage par les États-Unis de substances chimiques et de défoliants.

Extrait des protocoles : « Il est interdit, "quel que soit le motif", d'attaquer, de détruire, d'enlever "des biens indispensables à la survie" de la population civile, tels que "les installations et réserves d'eau potable et les ouvrages d'irrigation". » Il est également interdit d'attaquer "les ouvrages d'art ou installations contenant des forces dangereuses, à savoir les barrages, les digues et les centrales nucléaires de production, d'énergie électrique".

La création d'une Cour pénale internationale (CPI) permanente fait renaître l'espoir. La Cour a vu le jour en juillet 2002 et sera compétente à l'égard des crimes de guerre, des crimes contre l'humanité, et des graves violations du droit international humanitaire. Elle sera donc aussi tout à fait compétente pour arbitrer les conflits liées au partage des ressources en eau. Cependant, cette institution n'a pas le soutien des États-Unis, ce qui réduira considérablement son efficacité.
           


Afin d’alerter la population sur la situation de pénurie d’eau concernant notre planète, Le Programme des Nations Unies pour l’environnement a déclaré que « La soif du monde deviendra l’une des plus pesantes questions du 21e siècle ; Dans certains cas, les quantités d’eau prélevées sont si énormes que l’eau de surface diminue rapidement et les réserves souterraines s’épuisent plus rapidement qu’elles ne peuvent être réapprovisionnées par les précipitations ».

De nombreux conflits nous rappellent que l’eau, qui est un élément a la survie de chaque être humain, est aussi un réel enjeux géopolitique depuis de nombreuses années. Cependant il est très important de nuancer le propos. L’issue d’une guerre de l’eau demeure incertaine, même si les tensions se multiplient. L’eau étant devenue une priorité de nos sociétés contemporaines, les gouvernants et les différents organismes  recherchent et trouvent de plus en plus de solutions pour la gestion de l’eau. Le Sixième forum mondial de l'eau (qui a lieu tous les 3 ans) aura lieu à Marseille, en France, du 12 au 17 mars 2012. Le thème de cette édition est "le temps des solutions".

Peut-on vivre prochainement une guerre de l'eau ?
29 févr. 2012
Si la rareté de plus en plus importante de l’eau est source de tension, le risque que ces tensions dégénèrent de manière violente reste à nuancer.

En novembre 2002, l'eau a été reconnue comme l'un des droits de l'homme fondamentaux dans l'Observation générale sur le droit à l'eau. 145 pays ont ratifié cet accord.

L’eau un vrai facteur de conflit ? 

Il apparaît que les questions de partage de l’eau sont rarement dissociables d’autres sujets de contentieux, des tensions sociales et géopolitiques qui ternissent les relations entre Etats voisins. Le contrôle de l’eau ajoute un nouvel enjeu à des situations déjà tendues. Dans de nombreux conflits l’eau peut être analysée comme un facteur de tension supplémentaire qui vient alors catalyser le recours aux armes. Il n’y a aucun conflit dont l’unique cause soit le partage de l’eau. Bien sur, des problèmes d’eau peuvent intervenir dans un conflit. Pendant la guerre du Golfe, l’Irak a détruit les usines de dessalement du Koweït. Les américains et leurs alliés ont bombardé les infrastructures d’approvisionnement en eau de Bagdad. Le système de distribution d’eau de Pristina a été attaqué par les Serbes pendant la guerre du Kosovo. Sans être obligatoirement la source d’un conflit, l’eau peut néanmoins être utilisée comme cible ou comme arme de guerre. Dans ce cas, on s’en prend aux ressources en eau du pays ennemi pour diminuer ses capacités de résistance, comme on cherche à réduire ses capacités de production en détruisant ses infrastructures industrielles.




Il existe aujourd’hui 261 bassins hydrographiques internationaux et 145 nations ont des territoires sur des bassins partagés. En dépit des problèmes potentiels, le recours à la coopération l’emporte souvent sur le conflit. Les bassins partagés ont donné lieu à 1200 initiatives de coopération et crée 500 situations conflictuelles mais n’ont jamais provoqué de guerre officiellement déclarée, «  80% des incidents les plus sérieux se sont limités à des menaces verbales de chefs d’Etat, sans doute avant tout destinée à leur électorat ».

 


Les mesures de coopération sont nettement supérieures aux conflits graves. En s’alliant pour gérer conjointement leurs ressources partagées en eau, les pays peuvent construire une relation de confiance et éviter les conflits. L’eau peut également être un outil de négociation : elle peut représentée une bouée de sauvetage pour la communication entre les pays en pleine crise.  Par exemple, Les accords d’Oslo entre Israéliens et Palestiniens sont nés d’entretiens privés entre responsable de l’eau. 

Inégalités face à la pénurie d’eau.

De plus, La question de l’eau ne débouche sur une guerre que si la « capacité d’adaptation sociale de la société est dépassée. Le manque d’eau est un phénomène très relatif qui n’induit pas les mêmes effets sur toutes les sociétés. Avec les mêmes ressources certains pays arrivent à s’adapter à la pénurie d’eau et d’autres non. Face à la rareté de l’eau, une société pourra en recourant à la technologie développer diverses techniques d’irrigation, de dessalement et de récupération. L’adaptation à la rareté induit une modification des comportements. La consommation d’eau est donc une question de comportements sociaux et de choix de  politique intérieure. Par la suite les gouvernements peuvent privilégier la recherche de nouvelles ressources à l’extérieur des frontières, là seulement des désaccords extérieurs peuvent avoir lieu.

Monsanto responsable !
26 févr. 2012

Ce Lundi 13 février Monsanto, le géant américain des OGM, a pour la première fois en France été jugé responsable d’une intoxication à l’herbicide d’un agriculteur français. En reconnaissant ainsi le préjudice subi la cour permet d’espérer des dommages et intérêts et ainsi de porter atteinte directement aux comptes de Monstanto.


Lors de son incident en 2004, l’agriculteur avait inhalé du Lasso, un pesticide hautement dangereux commercialisé par Monsanto. Suite à cette inhalation il avait été pris de nausées, était tombé dans le coma et a été frappé d’amnésie. C’est son système nerveux même qui a été touché.

Une affaire qui ne manque pas de poser des questions car il faut rappeler que le Lasso n’a été retiré du marché français qu’en 2007 alors qu’il l’a été dans les années 1980 au Canada, en Angleterre et en Belgique. Le lasso étant en réalité l’association de deux molécules très toxiques, le plaignant considérant que l’entreprise aurait due signaler la dangerosité du produit.

Suite à cette décision de justice, on peut imaginer que d’autres cas vont apparaître étant donné que la voie est ouverte à des dommages et intérêts. Monsanto ne peut plus se réfugier derrière l’homologation fournie par l’Etat en présentant son autorisation de vente alors que la firme connaît la dangerosité de son produit. Au-delà des dangers pour l’environnement que représente l’utilisation de ces pesticides, ceux-ci sont aussi nocifs pour l’Homme.
ATELIER MASSAGE BY GRINSEEC
13 févr. 2012


Rien de tel que des massages pour se détendre durant cette semaine de l'amour ! Pour 1€ seulement ! RDV en salle de lecture mercredi 15 février !
Chronique d'une INSEECienne en Norvège : Forstandig vann !
09 févr. 2012
Forstandig vann ou eau intelligente. C’est en effet comme cela que l’on pourrait qualifier le rapport des Norvégiens à l’eau.

L’eau du robinet est bien sûr potable en Norvège et en plus, elle n’est pas du tout calcaire, ce qui permet à la population d’éviter d’acheter des bouteilles en plastique et ainsi, de polluer.

Lors de la rentrée universitaire à Kristiansand, les étudiants se sont par exemple vus remettre un gobelet-thermos réutilisable afin de les encourager à consommer l’eau du robinet.

En France, l’eau n’étant pas forcément aussi naturellement pure partout, on peut remédier à ce problème en démocratisant les filtres à poser directement sur les robinets.

A bientôt pour de nouvelles idées écologiques et économiques inspirées par nos amis norvégiens ! J
❤ Offre-lui des chocolats bio et équitables pour la Saint-Valentin ❤
02 févr. 2012
❤ Dis-lui « Je t’aime » avec du chocolat ! ❤


Offrir des fleurs ça marche 364 jours par an. Mais pour la Saint Valentin, offre-lui des chocolats ARTISANS DU MONDE ! Chocolats garantis BIO et équitables. 

Pour 5€ seulement, tu peux faire plaisir à la personne de ton choix, en lui faisant livrer les chocolats avec un petit mot, ou bien te faire plaisir tout seul ! Et pour un euro de plus, Grinseec offrira tes chocolats à l’élu de ton coeur en chanson !



Du lundi 6 au vendredi 10 février, de 9h45 à 17h15Grinseec t’attend sur son stand pour que tu puisses réserver ces succulents chocolats ARTISANS DU MONDE qui seront distribués le 14 février.

Les chroniques d'une Grinseecienne en Norvège !
02 févr. 2012
Velkommen ! 

Bienvenue dans votre nouvelle chronique écolo en direct de Kristiansand, en Norvège ! En effet, j’ai bien l’intention de vous faire profiter, vous amis de la nature, du fait que j’effectue mon semestre au pays du saumon pour exporter des idées ingénieuses afin de continuer à protéger notre planète !

La bonne idée du jour consiste en une machine présente dans tous les supermarchés qui permet de récupérer les bouteilles en plastique usagées afin de les recycler. Et pour récompenser votre geste responsable, vous recevez une petite somme d’argent !

Résultat, c’est un système qui marche très fort et qui encourage même les gens à ramasser les bouteilles dans la rue !

A bientôt pour de nouvelles idées branchées Développement durable grâce à nos amis norvégiens !

Ingrid LATIL






On a testé pour vous !
02 févr. 2012
Mixa BIO

J’aime beaucoup cette crème. Elle sent bon le thé vert et on a une sensation de fraîcheur quand on l’applique. Elle entre instantanément dans la peau et hydrate juste ce qu’il faut, avec sa texture fluide. Je la recommande pour les peaux mixtes.

Bon rapport qualité / prix.
On a testé pour vous !
02 févr. 2012
Crayon yeux « volcan noir » cire végétal de nature et découverte
Personnellement ayant les yeux sensibles, je trouve ce crayon très confortable, on sent qu’il n’est pas chimique ( il ne pique pas, il ne sent pas le parfum). Il est à base de cire végétales de camauba et de calendellila. Il a une très bonne tenue. Et concernant le démaquillage il est très facile à enlever ( un tout petit peu d’eau suffit). 


Je le recommande vraiment d’autant plus que son prix est assez raisonnable : 7,95 €



Nina de Grinseec sur Radio Campus.
17 déc. 2011

Nina de Grinseec est passée sur "la matinale" de radio campus. Elle a présenté les différentes opérations de Grinseec. L'émission dure près d'une heure.

Si vous souhaitez écouter Nina, c'est à partir de la vingt-sixième minute. Cependant, il est peut-être souhaitable que vous écoutiez les précédents intervenants afin de mieux comprendre les sujets traités. Un grand merci à Radio Campus et à Nina pour ces minutes d'antenne.
Fukushima, c'est terminé ?
17 déc. 2011

Yoshido Noda, le premier ministre du Japon a annoncé vendredi 16 Novembre l'arrêt à froid des réacteurs.
Ce qui veut dire que l'opérateur Tepco a enfin réussi à maintenir la température des réacteurs sous les 100 degrés. Pour rappel, les réacteurs de la centrale de Fukushima avaient été accidentés suite au séisme et au tsunami qui frappèrent l'archipel. Cependant, tout n'est pas fini. En effet, il va falloir diminuer les rejets radioactifs, sécuriser la centrale et superviser son démantèlement, ce qui prendrait 40 années et exposerait les ouvriers aux dangers des radiations. Les habitants qui avaient fui les radiations ne sont, pour la plupart, toujours pas rentrés chez eux. Il va donc falloir décontaminer les zones habitables proches de la centrale.

Voici les conséquences d'un incident qui était, rappelons le, "sous contrôle".

Image de KEI.